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 « je comprends, sûrement mieux que personne. Je vais t’aider. » || Calypso&Peace

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Isobel Cartwright

Isobel Cartwright


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QUELQUES NOTES.
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« je comprends, sûrement mieux que personne. Je vais t’aider. » || Calypso&Peace Empty
MessageSujet: Re: « je comprends, sûrement mieux que personne. Je vais t’aider. » || Calypso&Peace   « je comprends, sûrement mieux que personne. Je vais t’aider. » || Calypso&Peace Icon_minitimeMer 28 Oct - 5:34

    « je comprends, sûrement mieux que personne. Je vais t’aider. » || Calypso&Peace Rosi« je comprends, sûrement mieux que personne. Je vais t’aider. » || Calypso&Peace 51vgbl10
      peace s. fender && calypso m. milligan


Quand je m'étais levé ce matin, je savais que quelque chose de pas bien m'attendais. J'avais comme un pressentiment. Alors que je regardais à travers la grande baie vitrée du loft où j'habitais, je repensais à Peace. Avait- t-elle des soupçons ? Est-ce que ça se voyait autant ? Comme pour vérifier cette idée, je partis dans la salle de bain, et me regarda. Oui, j'avais ces cernes qui se creusaient de plus en plus. Mon teint était encore plus blanchâtre, même si naturellement j'étais déjà très blanche. J'avais l'air si fatiguée. Mais comment avait-elle su ? Pourquoi m'avoir poser cette question ? Merde! Elle ne devait pas savoir, ni même personne. Personne ne devait savoir que j'étais légèrement fêlée du bocal à cause de mon passé. En fait, que j'étais toujours fêlé du bocal. Personne ne devait savoir que je souffrais, et que j'étais loin d'être cette fille qu'ils côtoyaient tout les jours. Non, ils ne devaient pas savoir. Ils avaient assez de problèmes comme cela.

J'approchais mon visage du miroir, et tapota mes cernes comme si, en ce geste, j'allais pouvoir les faire disparaître. Bon sang, rien ne tournait en rond dans ma tête. Je devenais de plus en plus folle. Peace, je l'a connaissais depuis tellement de temps. Mais je ne savais pas grand chose de son passé, ni même elle, elle ne connaissait rien du mien. Nous sommes devenues amies comme ça, nous nous entendions tellement bien que ça ne pouvait pas être autre chose. Elle avait comme cette deuxième part que j'adorais, et qui devait surement me manquer. Je l'a connaissais depuis tellement longtemps, et à présent, nous étions encore amies. Mais comment pouvons-nous être amies sans vraiment connaître notre passé ? Je pense que c'est comme un contrat non verbal qu'on a signé automatiquement. Comme si, elle avait compris qu'il ne fallait pas chercher loin dans moi, et elle aussi. En réfléchissant à tout cela, j'avais la brosse à dent dans la bouche. Je partis vers le "salon", si je peux appeler ça comme cela, et alluma la stéréo, qu'allais-je faire aujourd'hui ? Je travaillais seulement l'après-midi. Bon, en même temps, à l'heure où je me suis levée, heureusement que je travaille seulement l'après-midi, direz-vous.

Il devait être treize heure, quand je décida de lever mes fesses du canapé moelleux qui ornait mon salon, pour avoir le courage de passer sous la douche, et m'habillais. Pas que le boulot me déplaisait, mais il y avait ces jours où vous n'aviez pas envie de travailler. Après avoir fini toutes les préparations, je partais au boulot.

Quelques heures plutard, j'étais dans les rues de Londres, mes talons claquaient sur le sol, je pris mon portable tout en chantonnant dans ma tête comme une idiote, comme à mon habitude direz-vous: "eh oh! eh oh! on rentre du boulot...talatada tlatada...". Ouai, bon je changeais pas de couleur de cheveux pour rien, hein. Je tapota sur le clavier de mon portable ces quelques mots:

Citation :
My Peace (& Love), do you spend the night with me ?
xoxo Moony.

Bon, si n'importe qui lirait ça, pourrait se poser des tas de questions. Mais non, je savais que Peace allait comprendre. C'était tout moi ça, et elle aussi. Je reçus sa réponse quelque temps après, quand j'avais mon café de Starbucks en main. Je lui proposa alors de passer la soirée au O'Connelly's Pub, afin d'y grignoter quelque chose puis ensuite voir un concert. Oui, je savais presque sur le bout des doigts les nouveaux venus, et leurs concerts privés, enfin privés... Ça laisse à savoir encore.
Alors que j'étais enfin chez moi, je reçus la réponse positive de ma chère amie. Bon, j'étais folle sérieusement. Au lieu de m'enfoncer encore plus, je voulais qu'elle n'est pas plus de soupçons à propos de vous-savez-quoi, alors voila pourquoi j'avais fait mine de rien et l'avait inviter. Sinon, elle aurait trouver ça étrange, et elle aurait encore continuer avec ça. Je balança mes talons haut à l'entrée, puis partit en gambadant vers mon stéréo et mit à fond: Sassy de Katerina Graham. Ah, que j'adorais cette chanson. Alors que je continuais à faire la folle, je m'approcha de mon répondeur, deux messages. Je l'enclencha afin d'écouter. Le premier venait d'une des coiffeuses que je connaissais qui s'occuper souvent des Fun Factory. Elle me disais m'avoir garder de superbes serres-têtes qu'elle avait en plusieurs exemplaires, mais que j'avais intérêt de venir les chercher très vite, sinon, ils me passeraient sous le nez. Ouai, bon intéressant... Tellement que je leva les yeux au ciel, enfin du moins au plafond. Alors que j'étais en train d'essayer d'enlever mon jean qui me collait beaucoup aux chevilles, j'entendis sa voix! Non, ça ne pouvait pas être vrai. Je me leva pour aller éteindre cette merde de répondeur, mais je me pris mon jean dans les pieds vu qu'il trainait à terre. Shit! J'entendais sa voix, sa terrible voix qui me faisait tant souffrir même après ces années passées. Je me retrouva assise sur les fesses, à même le sol.

Citation :
Tapez 1 pour effacer les messages ou Taper 2 pour les archiver.

J'étais stupide dans la position que j'étais, mais je m'en fichais si vous saviez. Et ce stupide répondeur voulait que j'archive ce message, il me croyait masochiste ou quoi ?!! MERDE! Pourquoi j'ai allumé ce répondeur, pourquoi je l'ai acheté. Sans que je ne puisse rien faire, des larmes coulaient sur mes joues. Cette voix m'avait tellement fait souffrir. Alors que j'enlevai brutalement et méchamment ce jean à la con, je regarda ma cuisse. Il y avait une toute petite cicatrice. C'était une des nombreuses qui ne se voyaient presque plus que j'avais sur le corps à cause de lui. Je me rappelais de cette blessure. C'était un des soirs où il avait encore voulu m'avoir dans son lit. J'étais tellement en pleurs, que la chanson qui passa me faisait encore plus pleurer: Can't take it des All American Rejects. Je regarda ensuite ma bibliothèque et comprit. Oui, il m'en fallait. Je jeta un oeil à l'horloge, bien sûr que j'aurais le temps. Je partis vers celle-ci, et ouvrit un livre tout à fait banal. Un petit sachet de poudre blanche tomba, oh, il ne m'en restait pratiquement plus. Je le pris, attrapa ma carte de service qui trainait pas trop loin, et alla vers la petite table de mon salon. Je renversa la poudre blanche sur la table, et fit comme je pouvais pour en avoir le maximum. Après cela, je fis comme il fallait: à séparer la poudre en ligne. Après ceci, j'attrapais une paille pas trop loin, et l'a coupa afin qu'elle soit plus courte. Et je sniffais. Oh, quel enfer! Pourquoi je faisais cela ? Mais c'était un enfer qui me faisait oublier.. Qui me rendais tellement plus heureuse que la vraie vie... Qui effaçait cette voix de ma tête, et ces visions, toutes mes peurs.

Le temps ralentissait pour moi. Alors que Cry me a river passait sur la stéréo, je rigolais comme une idiote, la tête posait sur le canapè, alors que j'étais assise par terre. Je regardais donc le plafond.

    CALYPSO - Haha... Mon beau Justin, tu peux toujours rêver, je te pleurerais jamais des rivières, et encore moins pour quelqu'un d'autre...


Quelqu'un d'autre à par lui. A par mon beau-père qui était mon meurtrier, l'assasin de celle que j'avais été avant. Cette fille innocente était partit à cause de lui, morte et enterrée. Je n'étais plus cette fille qui pleurait pour rien, non, je me sentais comme invincible.
Les minutes passaient doucement. Mais quand j'ouvris les yeux doucement, je vis vingt et une heures. J'avais dit à Peace que j'allais l'a chercher vers les vingt et une heures trente ou vingt deux heures. Je remis ma tête en place, j'avais vachement mal au cou, dites moi. Elle balançait toute seule un petit moment, je regardais la table avec ces quelques particules de poudre blanche. J'avais recommencer, encore et encore... Mais quel bien ça faisait. Je passais ma main sur mon visage, ouvrit doucement les yeux. J'avais un peu la bouche pâteuse. Après un long moment afin que je réussis à me lever, je partis doucement, et lentement vers la salle de bain.

Évidemment, j'avais été surprise par le temps qui était passé si vite. Je pris mollement la brosse à dent, et commençait le lavage. J'avais toujours adoré me brosser les dents, allez savoir pourquoi. Après cela, je me retrouvais sous la douche. Bon sang, qu'est-ce que j'adorais cette musique: Beloved de Yiruma. Il était un pro en piano ce mec, franchement. Le meilleur pour moi, même si les grands classiques n'étaient pas mal, mais je l'adorais ce Yiruma. Je ressentais ces chansons comme il l'ai jouer, je ressentais cette histoire qu'il voulait faire passer.

Après toutes les préparations, j'attrapais mon téléphone, et appelais Miss Fender. Je lui disais que j'allais bientôt arriver et tout le blabla. Je pris ma pochette, j'adorais cette accessoire. Entre le porte-feuille et le sac, la pochette. Je pris mes clés, et sortit. J'avais enfiler pour cette soirée, une robe à rayures bleu marine et blanche. Elle était assez près du corps, et m'arrivait un peu au dessus du milieu de mes cuisses. J'avais aux pieds de claquant escarpins vernis couleur rouge. Et bien sûr, vu que Londres, ce n'est pas Los Angeles, j'avais mit sur mes épaules une veste en cuir, qui tenait chaud avec un foulard légèrement rouge. J'arrivais à ma voiture et monta dans celle-ci. Ma voiture était simple, elle était comme moi quoi. Elle n'était pas ancienne par contre, elle avait sa peinture neuve, une belle forme. Une voiture du moment en bref. Alors que j'approchais de chez Peace, je l'a vis là, attendre dans l'allée. Quand elle vit ma voiture, elle souriait, puis montait. Nous nous retrouvâmes rapidement dans le quartier de Camden Town. Et le O'Connely's Pub était bien là. Je me garais pas trop loin, et on descendait avec ce charme naturel qu'on avait. Quelques coups d'œils vers nous, de la part de ses messieurs, on filait vers la longue file d'attente.

    CALYPSO - Saperlipopette!! Ils étaient au courant qu'on allait être là ce soir ?! ... C'est surement pour ça qu'il y a autant de monde.


J'avais sortit ça en souriant. Je cherchais une idée pour pouvoir rentrer plus vite. J'analysais les deux gros vigiles à l'entrée. Toujours réfléchir avant d'agir n'est-ce pas! J'ouvrais ma pochette, une cigarette allait m'aider à réfléchir. Je l'a mis à mes lèvres et l'alluma. Bon dieu, pourquoi autant de monde ? Bon, en même temps, le groupe qui allait faire un concert était super. Un petit groupe pas trop connu, mais très prometteur.

    CALYPSO - Peach', t'as une idée ? Ouvre moi ton esprit de tes idées si...prometteuses...


J'adorais lui donner pleins de surnoms. Je ne savais pas d'où je les sortais en parlant de ça...

[T'as fumée or what ?! Ton post est super! <3 Je l'aime moi.
Et puis les musiques OMG! <3]
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Isobel Cartwright

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MessageSujet: Re: « je comprends, sûrement mieux que personne. Je vais t’aider. » || Calypso&Peace   « je comprends, sûrement mieux que personne. Je vais t’aider. » || Calypso&Peace Icon_minitimeMar 24 Nov - 6:22

Je crois que les mots "concert privé" devraient être redéfinit. Parce que là, il y avait genre, tellement de monde pour un pub pas très grand. J'étais un peu surprise, enfin pour ne pas dire super surprise. Je jetais un oeil à Peace, elle avait l'air aussi surprise. Et puis, ce n'était pas genre nous étions arriver en retard où quoi que ce soit. Je rigolais à sortir des conneries. C'était bien ma soirée aujourd'hui, il y avait ces jours où j'étais vraiment de bonne humeur. Oui, je sais que ce n'est pas forcement vrai, vu ce que j'ai foutu dans l'après midi après le boulot. Mais si ce foutu répondeur avait eu l'amabilité de supprimer tout seul ce merdeux de message, je n'aurais pas prit ce qu'il ne fallait pas. Je savais que ce n'était pas bien. Je n'étais pas inconsciente, mais c'était la seule chose qui m'aidait réellement à tout oublier. Même l'alcool n'arrivait pas forcement à tout me faire oublier, faut croire. Mais cette poudre, cette drogue, cette héroïne, elle m'aidait tellement. C'était comme un baume pour mes lourdes pensées, mes lourds secrets. C'était la seule façon que je sois heureuse avec les autres, sinon je serais depuis longtemps devenue folle, super dépressif, alors ça m'aidait.

Évidemment, j'avais commencer ça la première fois que mon con de beau-père m'en avait donner pour avoir plus de facilité avec moi. Mais ensuite, j'en prenais en cachette quand j'avais su qu'il en avait toujours dans un de ses placards. Et j'avais commencer à en prendre souvent. Même étant jeune, ça m'avait tellement aider à tenir le coup. Je me rappelais que quand j'avais rencontré Preston, et que j'avais su son histoire et l'incident, je m'étais dit que la drogue c'était pas bien, et que ces personnes qui en prenaient était tellement irresponsable. Evidemment, j'avais dit ça avant que j'essai. Je savais aussi que Preston était loin de tout cela quand je l'avais connus. Mais j'avais vraiment commencer un peu après son arrivée. Il n'avait pas vu ce que je vivais, il n'avait pas su, et je savais que si il découvrait que je me droguais il aurait tout fait pour me sortir de ça, mais je ne voulais pas, c'était mon paradis. Alors quelque temps plutard, il était partit.

J'avais continuer, et n'avait pas arrêter depuis malgré moi. Dés que j'avais un soucis, j'en prenais. Je faisais tout pour que personne ne le remarque bien sûr, et depuis personne n'avait vu. N'avait remarquer que je n'étais pas cette fille si heureuse que je montrais. C'était pour ça, que l'autre fois quand Peace m'avait demander si je prenais quelque chose j'avais été tellement surprise. Evidemment que je ne lui dirais pas la vérité, malgré qu'elle soit une amie qui comptait beaucoup pour moi. Revenons à notre soirée, s'il vous plaît.

Peace me prit ma cigarette et l'a mit à ses lèvres, je n'eus pas le temps de protester, de toute façons je m'en fichais... Elle me prit la main et me tira tout en avançant vers l'entrée du pub. Les personnes de la file nous regarder genre frustré. Hein, c'était pas genre notre faute si Peace connaissait un des vigiles. Peace me rendit ma cigarette, et fit un de ses sourires incroyables et irrésistibles au mec. Ils parlaient un petit moment, puis je suivis Peace. Je lui faisais remarquer qu'elle avait ce don d'avoir dans sa poche les mecs qu'il fallait. On partit vers le bar, et s'y asseya. Le pub avait ce charme d'un pub traditionnel mais en même temps il y avait certaines améliorations plutôt modernes. Je posa mon derrière sur le tabouret, et commanda un verre vodka. Il me fallait quelque chose de fort. Peace faisait comme l'inspection de la salle, moi-même je regardais rapidement la salle, au cas où il n'y aurait pas quelqu'un que je connaisse. Alors que le barman me donna un verre d'eau que j'avais demander en même temps que la vodka, j'avala l'eau rapidement puis me tourna vers Peace.

    CALYPSO - dis Peacy, tu me garderais pas ma pochette ...
    PEACE - Le temps que tu ailles au pipi room ! Oui t'en fais pas mon ange, cours, allez vite !


Je lui souriais pour l'a remercier. Je savais que je lui faisais toujours le coup, mais c'était toujours comme ça, toujours une envie pressante ou du moins la majorité du temps. En réalité, j'avais donner rendez-vous à un dealer pour qu'il me ramène quelque sachet ou au moins quelque chose quoi. Je n'en avais plus. Arrivée près des toilettes, c'était genre super discret, le mec me sortit un sachet et me le passa quand il serra ma main comme pour se présenter. On parla très rapidement, puis je lui serrais la main tout en lui passant les billets. Pendant l'après-midi, j'avais finis le dernier paquet... Il partit, puis j'allais aux toilettes ensuite. Oui j'avais vraiment une envie pressante. Quand je me lavais les mains, je repensais soudainement à quelque chose. Cette pochette que j'avais pris, ça faisait tellement de temps que je l'avais pas prise, je me demandais si dedans il n'y avait pas... Merde! Et si il y avait un paquet dedans que j'avais oublier! Merde! Je me dépêcha et arriva près de mon amie, avec un sourire aux lèvres en faisant mine de rien, mais je voulais récupérer ma pochette rapidement afin de voir si ce que je pensais était vrai ou pas.

Mais soudainement, je vis Peace avec ce regard. Elle n'était plus si joyeuse qu'il y a quelques minutes, qu'avait-elle ? Pourquoi me regardait-elle comme ça ?

    CALYPSO - Ça va, je t'ai pas trop manquer? A moins qu'un beau mâle soit venu t'aborder...?!


Je souriais, amusé. Mais c'est là que je vis des larmes. Elle pleurait, pourquoi, qu'avait-elle ? Je m'inquiétais. Pourquoi ces joues étaient mouillées. Et là, elle se jeta dans mes bras, et me chuchota à l'oreille, ces quelques mots qui me faisait comprendre, oui, je comprenais où elle voulait en venir mais... Je l'a serrait dans mes bras, comment savait-elle ? Elle ne pouvait pas savoir! Elle ne PEUT pas avoir! Il ne faut PAS qu'elle sache, merde! Après un petit moment, je n'avais rien dit encore. Je m'éloignais un peu d'elle, et l'a regarda en faisant mine de ne pas comprendre.

    CALYPSO - De quoi tu parles, Peace?... Je ne te comprend pas...


Le pire dans tout ça, c'était pas le fait que je ment à propos de ça, non, mais c'était que je l'a faisais pleurer. Je l'a rendais triste. Et ça me faisait tellement mal, si vous saviez. Je ne voulais pas l'a rendre triste, mais je ne veux pas qu'elle sache, je ne veux pas qu'elle m'aide. Si, elle savait que c'était la seule chose qui me faisait tenir encore debout! J'essuyais ces joues avec mes mains, et évita ensuite son regard. Non, je ne voulais pas qu'elle pleure pour moi, il ne fallait pas, je n'en valait pas la peine.
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